1913 la fondation de la FED :
par la bande Rotschild et Rockefeller et leurs buts
Le rêve américain - L'histoire de la plus grande arnaque de tous les temps
Les Archives Oubliées - Le jeu de l'argent - 1sur3
1973 loi Rotschild-Pompidou-Giscard
d'ou la dette de la France
2001 preuves du complot du 11 septembre,
le seul but étant de déclancher la guerre Irak, Afghanistan
Faire tourner le complexe militaro-industriel
(Economie US = Wall Street, le complexe milit. et Hollywood)
Prendre position au moyen orient pour la future guerre des ressources et la gouvernance
mondiale
2007 la crise de 2007
n'est qu'une manœuvre savamment orchestrée pas Goldman Sachs et compagnie,
JP Morgan
2007 Golman-sachs :
aux states
les pions de Goldman Sachs, en Europe :
Mario Draghi, auparavant vice-président de la banque d'affaires Goldman Sachs Europe,
qui a aidé la Grèce à manipuler ses comptes puis gouverné la banque d'Italie, est le
nouveau président de la BCE.
Lucas Papademos, ancien dirigeant de la banque centrale grecque (1994-2002) puis vice-
président de la BCE de 2002 à 2010, ne pouvait rien ignorer des comptes grecs falsifiés. Il
devient premier ministre grec.
Mario Monti, commissaire européen (1994-2004) en charge du marché intérieur puis de la
concurrence, est à ce titre acteur de la dérégulation des marchés européens. Il est le
nouveau premier ministre italien.
2011 la faillite est inéluctable car c'est une ARNAQUE
le but est de reconstruire un EMPIRE plus grand.
«L'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique»
par Myret Zaki et Etienne Chouard
ReOpen911 – News » « La Stratégie du Choc »
de Naomi Klein dans les salles de cinéma
L'Ordo Ab Chaos : l'Ordre issu du désordre !!!
Crééer le chaos pour reconstruire dans le sens voulu
societes secretes Ordo Ab Chao
les retraites sont aussi une ARNAQUE
La croissance en Europe est stoppée et aucune solution de relance n'est crédible car matériellement impossible au vu de
la concurrence des pays émergents. Ces pays, dont la société civile est nettement moins organisée, peuvent se
permettre d'avoir des coûts de main d'oeuvre 10 à 100 fois moindre en pratiquant une honteuse exploitation du travail.
De plus, les coûts environnementaux n'y sont pas pris en compte, et les entreprises n'hésitent pas à augmenter leurs
bénéfices au détriment de la préservation des forêts, des sols, de l'eau et de l'air. Cette situation favorise la
délocalisation des entreprises européennes, portant ainsi préjudice à l'emploi en Europe et favorisant des conditions de
travail injustes dans les pays émergents.
La pyramide des âges dans les pays européens, ainsi que l'espérance de vie, fait qu'il y a un trop grand nombre de
retraités que la population active ne peux plus assumer.
Les cotisations encaissées pour ces retraites sont volatilisées instantanément, puis que la
France est 1800 milliards de dettes qui augmente de façon exponentielle.
Ceux qui pensent avoir une retraite complémentaire privée qui les protège ont faux
également puisque la faillite des banques entraînera les faillites des assurances
UMP et PS sont VENDUS :
CIA -> Opération Sarkozy [1/2
UMP/PS : l'art de tromper les gens et de les plumer au nom du "bien collectif"
http://liesidotorg.wordpress.com/2012/01/26/umpps-lart-de-tromper-les-gens-et-de-les-plumer-au-nom-du-bien-collectif/
http://liesidotorg.wordpress.com/2012/01/26/umpps-lart-de-tromper-les-gens-et-de-les-plumer-au-nom-du-bien-collectif/
Hollande s'inspire (profondément) du discours de Sarkozy en 2007
François ASSELINEAU : Qui gouverne réellement la France
L'escroquerie actuelle - L'endettement, les banques, la complicité de gouvernants pourris
Nous devons protéger les nations
contre la mondialisation
Aaron Russo - Mondialisation - Gouvernement mondial - Nouvel ordre mondial
Nous devons avoir une résistance MONDIALE
Hitler et l'UE : l'Histoire se répète !
OTAN : Comment Sarkozy trahit de Gaulle
La face cachée du pétrole-Le partage du monde
L'Union Européenne _ La Nouvelle Union Soviétique ...
le meilleurs des mondes, la société vers laquelle on se dirige:
CINÉMA : Le meilleur des mondes... SIONISTE !!! (Clin d'oeil à 10 min 40)
La décroissance est indispensable :
et doit être gérée pour le bien de l'humanité et la PLANET
"Toute personne croyant qu'une croissance exponentielle peut durer indéfiniment dans un
monde fini est soit un fou, soit un économiste."
Serge Latouche :
Kenneth Ewart Boulding
Cybernétique et politique
les peuples sont totalement manipulés,
conditionnés, pour être tondus et massacrés
Manipulation des médias !!
Les Banques Centrales Esclavagistes
Décodage de 25 techniques de désinformation
Voici quelques techniques courantes utilisées par différents organes de pouvoir – publics ou privés – cherchant à occulter des vérités qui dérangent. Il est utile de garder ces concepts à l’esprit lors de la lecture d’informations relatives à des sujets controversés (ils sont nombreux) … pour autant, règle n°1, que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans doute surpris de constater à quel point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par des instances officielles, des « experts » et par extension de nombreux médias.
Technique n°1 : Évitement
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.
Technique n°2 : Superficialité
N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Eviter soigneusement les points clés de l’argumentation.
Technique n°3 : Indignation
Rejeter le sujet de façon indignée ("jamais une chose pareille ne serait possible"). Jouer sur le sentiment d’incrédulité ("il y aurait eu des fuites", "ça se saurait", …)
Technique n°4 : Rumeur
Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.
Technique n°5 : Homme de paille
Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.
Technique n°6 : Messager
Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que « excentrique », « extrême-droite », « gauchiste », « terroriste », « conspirationniste », « radical », « fanatique », ou même « blonde » etc…
Technique n°7 : Biais
Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.
Technique n°8 : Confusion
Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.
Technique n°9 : Autorité
S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.
Technique n°10 : Innocence
Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.
Technique n°11 : Amalgame
Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.
Technique n°12 : Diviser
Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.
Technique n°13 : Pseudo-débat
Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.
Technique n°14 : Confession
Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.
Technique n°15 : Édulcorer
Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.
Technique n°16 : Énigme
Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…
Technique n°17 : Solution complète
Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.
Technique n° 18 : Omission
Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.
Technique n°19 : Sang froid
Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.
Technique n°20 : Expertise
"You don’t bite de hand that feeds you", disent les Anglais. Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.
Technique n°21 : Preuve impossible
Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.
Technique n° 22 : Déni
Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des « sources non valides » ou « des éléments sortis de leur contexte ».
Technique n°23 : Fausse preuve
Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.
Technique n°24 : Grand Jury
Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.
Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’évènement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.
Technique n°1 : Évitement
Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper.
Technique n°2 : Superficialité
N’aborder la controverse qu’en périphérie, sur des points mineurs voire pittoresques. Eviter soigneusement les points clés de l’argumentation.
Technique n°3 : Indignation
Rejeter le sujet de façon indignée ("jamais une chose pareille ne serait possible"). Jouer sur le sentiment d’incrédulité ("il y aurait eu des fuites", "ça se saurait", …)
Technique n°4 : Rumeur
Considérer la controverse comme une rumeur de plus, sans fondements, quels que soient les arguments présentés.
Technique n°5 : Homme de paille
Présenter la position de son adversaire de façon volontairement erronée, en sélectionnant son argument le plus faible, en amplifiant sa portée puis en le détruisant.
Technique n°6 : Messager
Décrédibiliser le porteur du message. Par extension, associer les opposants à des dénominations impopulaires telles que « excentrique », « extrême-droite », « gauchiste », « terroriste », « conspirationniste », « radical », « fanatique », ou même « blonde » etc…
Technique n°7 : Biais
Exacerber tous les faits qui pourraient donner à penser que l’opposant opère en dissimulant ses véritables intentions ou est sujet à tout autre forme de biais.
Technique n°8 : Confusion
Quelque soit le niveau de la polémique mais sans y faire référence, confirmer la thèse officielle par un communiqué laconique sur une nouvelle étude favorable et rassurante.
Technique n°9 : Autorité
S’associer à l’autorité (organismes internationaux etc.) et présenter ses arguments avec suffisamment de jargon, de détails techniques et de sources pour les crédibiliser.
Technique n°10 : Innocence
Faire l’innocent. Quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant, éviter la discussion en leur contestant toute crédibilité, toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Mélanger le tout pour un maximum d’efficacité.
Technique n°11 : Amalgame
Associer les charges de l’opposant à des charges farfelues facilement réfutables, qu’elles soient antérieures ou le fait d’autres opposants. En y étant associées, les charges subséquentes, quelle que soit leur validité, sont alors beaucoup plus facilement discréditées.
Technique n°12 : Diviser
Diviser pour mieux régner et par extension mettre l’accent sur les différences entre les différents courants des opposants et l’impression de chaos que cela procure.
Technique n°13 : Pseudo-débat
Présenter la version de l’opposant en premier lieu puis démentir par une succession de déclarations issues de sources faisant apparemment autorité.
Technique n°14 : Confession
Admettre avec candeur que des manquements (mineurs) ont été identifiés et que des solutions ont été apportées. Les opposants cependant en ont tiré parti pour gonfler la controverse et tenter de démontrer ce qui n’existe pas.
Technique n°15 : Édulcorer
Utiliser des termes techniques sans contenu émotif pour décrire le problème.
Technique n°16 : Énigme
Les énigmes n’ont pas de solution. Étant donné la multitude des paramètres, des intervenants et de leurs interactions, le sujet est bien trop complexe pour ne pouvoir être jamais résolu. Une technique couramment utilisée pour décourager ceux qui cherchent à suivre…
Technique n°17 : Solution complète
Éviter le problème en exigeant de l’opposant qu’il fournisse une solution complète à la résolution de la controverse.
Technique n° 18 : Omission
Omettre des preuves, des publications ou des témoignages contraires. S’ils n’existent pas, ce ne sont pas des faits, et le sujet ne doit pas être couvert.
Technique n°19 : Sang froid
Amener l’opposant à argumenter dans une position difficile et jouer sur sa perte de sang froid pour le décrédibiliser.
Technique n°20 : Expertise
"You don’t bite de hand that feeds you", disent les Anglais. Créer son propre groupe d’experts et le financer directement ou indirectement.
Technique n°21 : Preuve impossible
Ignorer les preuves présentées par l’opposant comme étant non pertinentes et lui demander des preuves inaccessibles, que ce soit matériellement (non disponibles ou soustraites au regard du public), techniquement (années de recherche) ou financièrement.
Technique n° 22 : Déni
Dénier toute crédibilité ou être extrêmement critique vis à vis de publications, de témoignages ou même de propos officiels d’organes de pouvoir, en les désignant comme des « sources non valides » ou « des éléments sortis de leur contexte ».
Technique n°23 : Fausse preuve
Introduire des éléments contradictoires par rapport à l’argument de l’opposant, au besoin en fabriquant de fausses preuves, par exemple sous la forme d’études scientifiques au protocole particulièrement étudié.
Technique n°24 : Grand Jury
Organiser un grand jury ou des états généraux avec tous les atours de la consultation la plus large et la plus ouverte qui soient. Neutraliser ensuite les sujets qui fâchent et présenter le rapport final comme étant l’état du consensus général.
Technique n°25 : Diversion et distraction
Créer l’évènement ailleurs pour distraire et écarter l’attention du public.
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